محاضرةالأستاذ صادق أمين خوجة
Naissance de la peinture moderne Algérienne
يوم 10 ماي 2017 بالمتحف العمومي الوطني سيرتا قسنطينة
على الساعة 15.00 مساء
Résumé de la conférence
« Naissance de la peinture moderne Algérienne
Aspect historique :
1- La peinture durant la période de colonisation 50/62 ( école Alger )
2- Après l’indépendance 62/80.
3- Une nouvelle génération 80/2000
4- Démonstration d’une création picturale singulière d’inspiration ( école d’Alger).
Bref résumé :
On peut éventuellement relever une lointaine influence d’art moderne dans notre pays a partir de 1863, par l’artiste Delacroix, était précurseur lointain de l’impressionnisme MATISSE, joua un rôle révélateur, comme klee.
Durant la période coloniale à Alger, NALLARD, MAISONSEUL, MANTON, à Paris, Atlan BENANTEUR, GUERMAZ, s’inscrivaient, dans une crise identitaire charnière entre le patrimoine national et l’art moderne universaliste. Après l’indépendance, à Alger, de jeunes peintures d’avant-gardes s’imposèrent avec de forts slogans, réclamant un art neuf, aux sources ancestrales berbères et musulmans KHADDA, MESLI, MARTINAZ, les trois, ont vécu à paris. En 1967, ils créèrent un bref mouvement « le groupe Aouchen » qui voulait dire « TATOUAGES ».
L’année 1980 voit l’émergence de jeunes talents, ayant tous étudies à l’école des Beaux-Arts de Paris et qui apportèrent un dang nouveau d’avant-garde KHORICHI, BENDELLA, MOKRANI, BELHACHEMI, AMINE KHOUDJA SADEK, MALEK…..
Je ne parlerais et citerais dans ma communication que de la période dite moderne : 1875 avec les impressionnistes à la période, après la seconde guerre mondiale 1945. Chez nous, après l’indépendance, in convient de préciser la terminologie, la modernité, c’est-à-dire les artistes qui ont opté soit par maturité, soit par conviction à l’art abstrait : naissance 1910 par KANDINSKY.
SADEK AMINE KHOUDJA.